(2025) Lyubomír Pípkov: Ludus Rithmicus, Complete Works for Piano
Catégorie(s): Concerto Moderne Orchestral Piano Raretés
Instrument(s): Piano
Compositeur principal: Lyubomír Pípkov
Orchestre: Bulgarian National Radio Symphony Orchestra
Chef: Stanislav Ushev
Nb CD(s): 3
N° de catalogue:
CD 3117-19
Sortie: 04.04.2025
EAN/UPC: 7619931311722
(L'album sera envoyé quelques jours avant la sortie officielle).
Cet album est en repressage. Précommandez-le dès maintenant à un prix spécial.
CHF 35.00
Cet album n'est plus disponible en CD.
Cet album n'est pas encore sorti. Précommandez-le dès maintenant.
CHF 35.00
Cet album n'est plus disponible en CD.
CHF 35.00
TVA incluse pour la Suisse et l'UE
Frais de port offerts
Cet album n'est plus disponible en CD.
TVA incluse pour la Suisse et l'UE
Frais de port offerts
Cet album est en repressage. Précommandez-le dès maintenant à un prix spécial.
CHF 35.00
Cet album n'est plus disponible en CD.
This album has not been released yet.
Pre-order it at a special price now.
CHF 35.00
Cet album n'est plus disponible en CD.
CHF 35.00
Cet album n'est plus disponible en CD.
NOUVEAU: Les achats se font dorénavant dans la devise de votre pays. Modifier le pays ici ou lors du checkout
LYUBOMÍR PÍPKOV: LUDUS RITHMICUS, COMPLETE WORKS FOR PIANO
À PROPOS DE CET ALBUM
L’École nationale bulgare de compositeurs fut l’une des dernières à rejoindre la famille musicale européenne à la fin du XIXe siècle. Ce retard important avait ses raisons historiques. Fondée en 681, la Bulgarie a connu son âge d’or aux IXe et Xe siècles. En 1396, le pays tomba sous la domination de l’Empire ottoman et, pendant près de cinq siècles, il fut pratiquement isolé de l’Europe, manquant de nombreuses étapes importantes du développement social et culturel. La ‘Renaissance bulgare’, un processus de renouveau national, politique et culturel, commença à la fin du XVIIIe siècle et se dirigea rapidement en accélération vers la libération et le rétablissement de l’État en 1878. Au cours des 66 années suivantes, la Bulgarie connut un essor économique et culturel énorme jusqu’à ce que ce processus soit à nouveau brusquement interrompu par l’occupation soviétique et le coup d’État communiste de 1944. C’est pendant cette période que la musique professionnelle bulgare gagna sa place en Europe.
Sans connaître ce contexte historique, certains événements comme la création du premier opéra bulgare (L’Orpheline d’Emanuíl Manolov) en 1900, ou la première sonate pour piano en 1911 et la première symphonie bulgare en 1912 (toutes deux de Nikola Atanasov) peuvent sembler anachroniques. Cependant, il faut savoir que trente ans auparavant, il n’y avait pratiquement pas de production musicale professionnelle. La ferveur (et la rapidité !) avec laquelle la première génération de compositeurs bulgares posa les bases de la musique professionnelle dans le pays nouvellement libéré fut vraiment étonnante. Tous ces compositeurs avaient étudié à l’étranger – Dobri Hrístov à Prague avec Dvořák, Nikola Atanasov à Zagreb, Panayot Pípkov (le père de Lyubomír Pípkov) à Milan, Georgi Atanasov à Pesaro avec Mascagni, Emanuíl Manolov à Moscou. Leurs efforts étaient principalement orientés vers l’assimilation des formes musicales, du langage et des techniques de l’Europe occidentale. Dans leurs oeuvres, les intonations du folklore urbain et de l’opéra italien prédominent. L’utilisation de la musique paysanne, essentiellement monophonique, se limitait à des harmonisations de type occidental et à des accompagnements de mélodies folkloriques. Dobri Hrístov fut le premier à attirer l’attention sur le caractère unique de la musique populaire bulgare, avec son extraordinaire richesse modale et métro-rythmique. De plus, Hrístov fut celui qui posa la première pierre de l’ethnomusicologie en Bulgarie.
La deuxième génération de compositeurs bulgares a eu pour tâche de donner forme au style national bulgare et de le faire connaître sur la scène musicale européenne du XXe siècle. Presque tous – Pancho Vladigerov, Petko Staynov, Dimítar Nenov, Veselín Stoyanov, Fílip Kutev, Lyubomír Pípkov, Marín Golemínov, Parashkev Hadjíev – ont étudié à l’Académie de musique de Sofia (fondée en 1921) et ont ensuite poursuivi leurs études en Europe : Nenov et Staynov à Dresde, Vladigerov à Berlin, Stoyanov à Vienne, Pípkov et Golemínov à Paris. De retour en Bulgarie, ils fondent en 1934 la Société de musique contemporaine et contribuent, chacun avec leur propre personnalité artistique en tant que compositeur, professeur, interprète et personnage public, à la riche vie musicale du pays. Influencées par R. Strauss, Rachmaninov, Ravel et Scriabine, les oeuvres de Vladigerov, Stoyanov et Nenov sont pleines de pathos romantique, d’exubérance et d’extase, tandis que les styles de Golemínov et Pípkov évoluent à un point tel qu’on peut les placer à côté de Bartók, Honegger, Hindemith, Chostakovitch ou Ginastera.
Né dans la famille du compositeur Panayot Pípkov, Lyubomír Pípkov (1904–1974) n’était pas un enfant prodige. À partir de 1919, il étudie le piano avec Ivan Torchanov et Heinrich Wiesner, et la théorie avec Dobri Hrístov à l’École de musique de Sofia. Ses premiers essais de composition impressionnent ses professeurs et il reçoit, non sans l’aide d’Alfred Cortot, une modeste bourse du gouvernement français pour étudier à Paris. En 1926, Pípkov s’inscrit dans la classe de composition de Paul Dukas à l’École normale de musique, où il devient également l’élève de piano d’Yvonne Lefébure. Les premières compositions qu’il montre à Dukas sont les 22 Variations (1926) et l’Album pour enfants Op. 1 (1924–1926) pour piano. Contrairement à l’Album pour enfants, composé de trois petites pièces gracieuses sans saveur nationale spécifique que Pípkov juge dignes de recevoir son premier numéro d’opus, les 22 Variations romantiques ne sont jamais considérées comme une création artistique autonome par l’auteur. Il traite plutôt l’oeuvre comme un exercice de composition pour explorer les techniques des variations classiques et romantiques. On peut retrouver les influences de Beethoven, Chopin, Schumann, et même Scriabine sur le jeune Pípkov.
Vesko Stambolov
Traduction du bulgare : Elisabeth Gillming et Emili Brugalla
VESKO STAMBOLOV
Vesko Stambolov est l’un des principaux pianistes bulgares. Il a reçu une éducation musicale solide et polyvalente dans son pays natal. Ses professeurs sont Maria Gíneva, Dimo Dímov et Krasimír Taskov. Il a également travaillé avec Germaine Mounier, Sequeira Costa et Ventsislav Yankov, et a été très influencé par Paul Badura-Skoda.
Stambolov s’est produit dans des salles aussi importantes que le Musikverein de Vienne, le Palau de la Música Catalana de Barcelone et le Kumho Recital Hall de Séoul, pour n’en citer que quelques-unes. Il a participé en tant que soliste à de nombreux concerts avec tous les orchestres bulgares et de nombreux orchestres étrangers, interprétant un répertoire de plus de quarante concertos pour piano de J. S. Bach (les 14 concertos de Bach de BWV 1052 à BWV 1065), C. Ph. E. Bach, J. C. Fr. Bach, J. C. Bach, L. Koželuch, Haydn, Mozart, Beethoven, Chopin, Schumann, Grieg, Tchaïkovski, Ravel, Rachmaninov (No 3), Prokofiev (No 3), Chostakovitch (No 1), Henryk Górecki, et d’autres compositeurs.
Le label allemand Meta Records a publié trois CDs de Vesko Stambolov avec les sept concertos pour piano seul de J. S. Bach et les deux concertos pour piano de Chopin dans une version de chambre. Piano News a distingué son premier CD de Bach comme CD du mois de mai et juin 2004. Il a enregistré un double CD de musique de Rachmaninov pour deux pianos avec Vessela Marinova pour le label britannique Nimbus Records. Stambolov a également sorti un CD avec le Concerto pour piano en ré majeur de Haydn avec l’orchestre de chambre Sofia Soloists et le chef d’orchestre Plamen Djurov. Les deux récents CDs du duo de pianistes Emili Brugalla & Vesko Stambolov avec Le Sacre du Printemps de Stravinsky, Cendrillon de Prokofiev et des oeuvres d’Antoni Soler, Carles Suriñach, Robert Gerhard, Xavier Montsalvatge et Joan Guinjoan (tous deux sur le label catalan Columna Música) ont reçu un accueil très favorable de la part de la critique.
Vesko Stambolov est un fervent promoteur des compositeurs bulgares. Son CD Bulgarian Piano Miniatures (Columna Música) a été récompensé par le Melómano de Oro, décerné par le magazine spécialisé Melómano. Stambolov est le premier interprète de l’intégrale des oeuvres tardives de Pancho Vladigerov (opus 64 à 70). Il a enregistré les concertos pour piano de Dimitar Nenov, Lyubomír Pípkov et Marín Golemínov, ainsi que le Prélude, l’Aria et la Toccata pour piano et orchestre de Golemínov avec l’Orchestre symphonique de la Radio nationale bulgare. Il a également à son répertoire un grand nombre d’oeuvres solo et de chambre de Pancho Vladigerov, Dimitar Nenov, Veselín Stoyanov, Marín Golemínov, Parashkev Hadjíev, Alexander Raychev, Ivan Dímov, Stefan Ikonomov, Boris Karadimchev, Georgi Mínchev, Alexander Tekeliev, Krasimír Taskov, Miroslav Danev, Petar Petrov, ainsi que d’autres compositeurs bulgares. L’ensemble de trois CDs que vous tenez entre les mains est le premier enregistrement des oeuvres complètes pour piano de Lyubomír Pípkov.
Vesko Stambolov a remporté plusieurs concours nationaux et internationaux et il est lauréat du prestigieux prix national de musique bulgare « Marín Golemínov », 2020.
Vesko Stambolov vit actuellement en Catalogne et enseigne au Conservatori Superior del Liceu, à Barcelone.
SITES INTERNET DE L'ORCHESTRE ET DES ARTISTES
Bulgarian National Radio Symphony Orchestra [site]
Vesko Stambolov [site]
OEUVRES
Metro-Rhythmic Pictures and Studies / Метроритмични картини и студии Op. 69 & Op. 77 (1967-1971)
[CD 1, Pistes 1-18]
Springtime Whimsies / Пролетни приумици, Op. 78 (1972)
[CD1, Pistes 19-34]
***
Concerto for Piano and Orchestra / Концерт за пиано и оркестър, Op. 48 (1954)
[CD 2, Pistes 1-3]
Bulgarian Suite / Българска сюита, Op. 2 (1928)
[CD 2, Pistes 4-9]
Pastorale / Пасторал, Op. 24 (1944)
[CD 2, Piste 10]
Ancient Dance / Старинен танц, Op. 26 (1946)
[CD 2, Piste 11]
Prelude / Прелюд, Op. 39 (1949)
[CD 2, Piste 12]
***
Youth Collection / Юношески сборник, Op. 14 (1937-1957)
[CD 3, Pistes 1-9]
Children’s Album / Детски албум, Op. 1 (1926)
[CD 3, Pistes 10-12]
22 Variations / 22 Вариации (1926)
[CD 3, Piste 13]
Miscellaneous Little Pieces / Разни малки пиески (1946-1957)
[CD 3, Pistes 14-20]
From 1 to 15 / От 1 до 15, Op. 81 (1973)
[CD 3, Pistes 21-39]
Children’s Joys / Детски радости (1974, unfinished)
[CD 3, Pistes 40-53]
(2025) Lyubomír Pípkov: Ludus Rithmicus, Complete Works for Piano - CD 3117-19
À PROPOS DE CET ALBUM
L’École nationale bulgare de compositeurs fut l’une des dernières à rejoindre la famille musicale européenne à la fin du XIXe siècle. Ce retard important avait ses raisons historiques. Fondée en 681, la Bulgarie a connu son âge d’or aux IXe et Xe siècles. En 1396, le pays tomba sous la domination de l’Empire ottoman et, pendant près de cinq siècles, il fut pratiquement isolé de l’Europe, manquant de nombreuses étapes importantes du développement social et culturel. La ‘Renaissance bulgare’, un processus de renouveau national, politique et culturel, commença à la fin du XVIIIe siècle et se dirigea rapidement en accélération vers la libération et le rétablissement de l’État en 1878. Au cours des 66 années suivantes, la Bulgarie connut un essor économique et culturel énorme jusqu’à ce que ce processus soit à nouveau brusquement interrompu par l’occupation soviétique et le coup d’État communiste de 1944. C’est pendant cette période que la musique professionnelle bulgare gagna sa place en Europe.
Sans connaître ce contexte historique, certains événements comme la création du premier opéra bulgare (L’Orpheline d’Emanuíl Manolov) en 1900, ou la première sonate pour piano en 1911 et la première symphonie bulgare en 1912 (toutes deux de Nikola Atanasov) peuvent sembler anachroniques. Cependant, il faut savoir que trente ans auparavant, il n’y avait pratiquement pas de production musicale professionnelle. La ferveur (et la rapidité !) avec laquelle la première génération de compositeurs bulgares posa les bases de la musique professionnelle dans le pays nouvellement libéré fut vraiment étonnante. Tous ces compositeurs avaient étudié à l’étranger – Dobri Hrístov à Prague avec Dvořák, Nikola Atanasov à Zagreb, Panayot Pípkov (le père de Lyubomír Pípkov) à Milan, Georgi Atanasov à Pesaro avec Mascagni, Emanuíl Manolov à Moscou. Leurs efforts étaient principalement orientés vers l’assimilation des formes musicales, du langage et des techniques de l’Europe occidentale. Dans leurs oeuvres, les intonations du folklore urbain et de l’opéra italien prédominent. L’utilisation de la musique paysanne, essentiellement monophonique, se limitait à des harmonisations de type occidental et à des accompagnements de mélodies folkloriques. Dobri Hrístov fut le premier à attirer l’attention sur le caractère unique de la musique populaire bulgare, avec son extraordinaire richesse modale et métro-rythmique. De plus, Hrístov fut celui qui posa la première pierre de l’ethnomusicologie en Bulgarie.
La deuxième génération de compositeurs bulgares a eu pour tâche de donner forme au style national bulgare et de le faire connaître sur la scène musicale européenne du XXe siècle. Presque tous – Pancho Vladigerov, Petko Staynov, Dimítar Nenov, Veselín Stoyanov, Fílip Kutev, Lyubomír Pípkov, Marín Golemínov, Parashkev Hadjíev – ont étudié à l’Académie de musique de Sofia (fondée en 1921) et ont ensuite poursuivi leurs études en Europe : Nenov et Staynov à Dresde, Vladigerov à Berlin, Stoyanov à Vienne, Pípkov et Golemínov à Paris. De retour en Bulgarie, ils fondent en 1934 la Société de musique contemporaine et contribuent, chacun avec leur propre personnalité artistique en tant que compositeur, professeur, interprète et personnage public, à la riche vie musicale du pays. Influencées par R. Strauss, Rachmaninov, Ravel et Scriabine, les oeuvres de Vladigerov, Stoyanov et Nenov sont pleines de pathos romantique, d’exubérance et d’extase, tandis que les styles de Golemínov et Pípkov évoluent à un point tel qu’on peut les placer à côté de Bartók, Honegger, Hindemith, Chostakovitch ou Ginastera.
Né dans la famille du compositeur Panayot Pípkov, Lyubomír Pípkov (1904–1974) n’était pas un enfant prodige. À partir de 1919, il étudie le piano avec Ivan Torchanov et Heinrich Wiesner, et la théorie avec Dobri Hrístov à l’École de musique de Sofia. Ses premiers essais de composition impressionnent ses professeurs et il reçoit, non sans l’aide d’Alfred Cortot, une modeste bourse du gouvernement français pour étudier à Paris. En 1926, Pípkov s’inscrit dans la classe de composition de Paul Dukas à l’École normale de musique, où il devient également l’élève de piano d’Yvonne Lefébure. Les premières compositions qu’il montre à Dukas sont les 22 Variations (1926) et l’Album pour enfants Op. 1 (1924–1926) pour piano. Contrairement à l’Album pour enfants, composé de trois petites pièces gracieuses sans saveur nationale spécifique que Pípkov juge dignes de recevoir son premier numéro d’opus, les 22 Variations romantiques ne sont jamais considérées comme une création artistique autonome par l’auteur. Il traite plutôt l’oeuvre comme un exercice de composition pour explorer les techniques des variations classiques et romantiques. On peut retrouver les influences de Beethoven, Chopin, Schumann, et même Scriabine sur le jeune Pípkov.
Vesko Stambolov
Traduction du bulgare : Elisabeth Gillming et Emili Brugalla
VESKO STAMBOLOV
Vesko Stambolov est l’un des principaux pianistes bulgares. Il a reçu une éducation musicale solide et polyvalente dans son pays natal. Ses professeurs sont Maria Gíneva, Dimo Dímov et Krasimír Taskov. Il a également travaillé avec Germaine Mounier, Sequeira Costa et Ventsislav Yankov, et a été très influencé par Paul Badura-Skoda.
Stambolov s’est produit dans des salles aussi importantes que le Musikverein de Vienne, le Palau de la Música Catalana de Barcelone et le Kumho Recital Hall de Séoul, pour n’en citer que quelques-unes. Il a participé en tant que soliste à de nombreux concerts avec tous les orchestres bulgares et de nombreux orchestres étrangers, interprétant un répertoire de plus de quarante concertos pour piano de J. S. Bach (les 14 concertos de Bach de BWV 1052 à BWV 1065), C. Ph. E. Bach, J. C. Fr. Bach, J. C. Bach, L. Koželuch, Haydn, Mozart, Beethoven, Chopin, Schumann, Grieg, Tchaïkovski, Ravel, Rachmaninov (No 3), Prokofiev (No 3), Chostakovitch (No 1), Henryk Górecki, et d’autres compositeurs.
Le label allemand Meta Records a publié trois CDs de Vesko Stambolov avec les sept concertos pour piano seul de J. S. Bach et les deux concertos pour piano de Chopin dans une version de chambre. Piano News a distingué son premier CD de Bach comme CD du mois de mai et juin 2004. Il a enregistré un double CD de musique de Rachmaninov pour deux pianos avec Vessela Marinova pour le label britannique Nimbus Records. Stambolov a également sorti un CD avec le Concerto pour piano en ré majeur de Haydn avec l’orchestre de chambre Sofia Soloists et le chef d’orchestre Plamen Djurov. Les deux récents CDs du duo de pianistes Emili Brugalla & Vesko Stambolov avec Le Sacre du Printemps de Stravinsky, Cendrillon de Prokofiev et des oeuvres d’Antoni Soler, Carles Suriñach, Robert Gerhard, Xavier Montsalvatge et Joan Guinjoan (tous deux sur le label catalan Columna Música) ont reçu un accueil très favorable de la part de la critique.
Vesko Stambolov est un fervent promoteur des compositeurs bulgares. Son CD Bulgarian Piano Miniatures (Columna Música) a été récompensé par le Melómano de Oro, décerné par le magazine spécialisé Melómano. Stambolov est le premier interprète de l’intégrale des oeuvres tardives de Pancho Vladigerov (opus 64 à 70). Il a enregistré les concertos pour piano de Dimitar Nenov, Lyubomír Pípkov et Marín Golemínov, ainsi que le Prélude, l’Aria et la Toccata pour piano et orchestre de Golemínov avec l’Orchestre symphonique de la Radio nationale bulgare. Il a également à son répertoire un grand nombre d’oeuvres solo et de chambre de Pancho Vladigerov, Dimitar Nenov, Veselín Stoyanov, Marín Golemínov, Parashkev Hadjíev, Alexander Raychev, Ivan Dímov, Stefan Ikonomov, Boris Karadimchev, Georgi Mínchev, Alexander Tekeliev, Krasimír Taskov, Miroslav Danev, Petar Petrov, ainsi que d’autres compositeurs bulgares. L’ensemble de trois CDs que vous tenez entre les mains est le premier enregistrement des oeuvres complètes pour piano de Lyubomír Pípkov.
Vesko Stambolov a remporté plusieurs concours nationaux et internationaux et il est lauréat du prestigieux prix national de musique bulgare « Marín Golemínov », 2020.
Vesko Stambolov vit actuellement en Catalogne et enseigne au Conservatori Superior del Liceu, à Barcelone.
SITES INTERNET DE L'ORCHESTRE ET DES ARTISTES
Bulgarian National Radio Symphony Orchestra [site]
Vesko Stambolov [site]
OEUVRES
Metro-Rhythmic Pictures and Studies / Метроритмични картини и студии Op. 69 & Op. 77 (1967-1971)
[CD 1, Pistes 1-18]
Springtime Whimsies / Пролетни приумици, Op. 78 (1972)
[CD1, Pistes 19-34]
***
Concerto for Piano and Orchestra / Концерт за пиано и оркестър, Op. 48 (1954)
[CD 2, Pistes 1-3]
Bulgarian Suite / Българска сюита, Op. 2 (1928)
[CD 2, Pistes 4-9]
Pastorale / Пасторал, Op. 24 (1944)
[CD 2, Piste 10]
Ancient Dance / Старинен танц, Op. 26 (1946)
[CD 2, Piste 11]
Prelude / Прелюд, Op. 39 (1949)
[CD 2, Piste 12]
***
Youth Collection / Юношески сборник, Op. 14 (1937-1957)
[CD 3, Pistes 1-9]
Children’s Album / Детски албум, Op. 1 (1926)
[CD 3, Pistes 10-12]
22 Variations / 22 Вариации (1926)
[CD 3, Piste 13]
Miscellaneous Little Pieces / Разни малки пиески (1946-1957)
[CD 3, Pistes 14-20]
From 1 to 15 / От 1 до 15, Op. 81 (1973)
[CD 3, Pistes 21-39]
Children’s Joys / Детски радости (1974, unfinished)
[CD 3, Pistes 40-53]
Return to the album | Read the booklet | Composer(s): Lyubomír Pípkov | Main Artist: Vesko Stambolov