(2011) Liszt: Piano Recital
Catégorie(s): Piano
Instrument(s): Piano
Compositeur principal: Franz Liszt
Nb CD(s): 1
N° de catalogue:
CD 1108
Sortie: 01.05.2011
EAN/UPC: 7619931110820
- UPC: 885686792520
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LISZT: PIANO RECITAL
Les anniversaires, c'est génial ! Le bicentenaire de la naissance de Franz Liszt - artiste exceptionnel, adulé, star du XIXe siècle romantique - a donné à Joseph Moog l'occasion de présenter un florilège de transcriptions et de paraphrases rares.
Tout au long de ce généreux programme, le jeune virtuose nous entraîne sur des chemins jusqu'alors quasi inexplorés, avec des évocations de Bach, Beethoven, Schubert et Rossini, et des décors tels qu'une cathédrale, un opéra, un bal, ou l'intimité délicate d'un salon romantique, illustrant l'extraordinaire polyvalence de Franz Liszt en toute situation.
En complément de ces transcriptions et paraphrases, Joseph Moog a choisi la deuxième Ballade, rare témoignage du Liszt introverti, contrastant avec la pétillante Valse-Impromptu qui clôt ce récital exceptionnel.
Liszt, œuvres pour piano
Dans le catalogue des œuvres de Franz Liszt, plus de la moitié des numéros renvoient à des transcriptions, des paraphrases ou des arrangements. De Bach à Beethoven, de Schubert à Schumann, de Bellini à Wagner ou Verdi, sans oublier certaines de ses propres compositions, et dans les genres les plus divers (pièces pour orgue, pour orchestre symphonique, opéras, lieder), Liszt a tout abordé, tout absorbé, tout recréé. Pour piano à deux mains, mais aussi pour piano à quatre mains, deux pianos, orchestre de chambre, orgue, voix et orchestre. Nul compositeur ne s’est livré à cette activité avec un tel zèle, une telle abondance.
On évoque souvent, pour expliquer ce phénomène, la générosité de Liszt, et son amour éclairé des œuvres d’autrui : quel plus bel exercice d’admiration que la transcription ? Oui, mais il faut ajouter que le génial transcripteur, presque toujours, s’approprie l’œuvre originelle. De tout ce qu’il touche, il fait du Liszt. Et pourtant, il respecte l’œuvre transcrite. Ainsi, les symphonies de Beethoven, réduites pour piano à deux mains, deviennent une œuvre de haute virtuosité pianistique, mais ne trahissent jamais l’esprit beethovénien. De même, les transcriptions des lieder de Schubert, forcément très « chargées » puisqu’elles doivent intégrer la voix au discours du piano, sont en même temps de pieux hommages au dépouillement schubertien. L’écrivain André Suarès a condensé dans une magnifique formule le paradoxe des transcriptions lisztiennes, à la fois altruistes et personnelles, scrupuleuses et libres : « On dirait qu’il donne son nom à ce qu’il admire ».
Dès lors, la distance, entre les compositions « originales » de Liszt et ses transcriptions n’est pas aussi grande qu’on pourrait le croire. L’art du créateur s’est nourri de l’art du transcripteur. On a pu montrer que sa Sonate pour piano, la plus importante des œuvres qu’il ait consacrées à cet instrument, est fondée sur le principe de la variation-répétition, principe qui est précisément au cœur de son travail de transcripteur.
C’est donc de façon très judicieuse que le présent disque fait alterner des transcriptions et des œuvres « originales » : dans chacune de ces compositions, Liszt est présent tout entier. [..]
Joseph Moog
Du haut de ses 21 ans, Joseph Moog appartient déjà à l’élite internationale des pianistes. Sa grande virtuosité, sa personnalité musicale aux facettes multiples et ses compositions qui ponctuent souvent ses récitals, sont autant d’atouts qui retiennent l’attention.
Joseph Moog s’est produit en soliste avec de nombreux orchestres, parmi lesquels la Deutsche Radio Philharmonie Saarbrücken-Kaiserslautern, la Philharmonie slovaque, la Deutsche Streicherphilharmonie, l’Orchestre symphonique Tchaïkovski de Radio Moscou, la Deutsche Staatsphilharmonie Rheinland-Pfalz et l’Orchestre de la Radio munichoise. On peut l’entendre sur les grandes scènes internationales – Konzerthaus de Vienne, Festspielhaus de Salzbourg, Rudolfinum de Prague, Rio de Janeiro, Tel Aviv, Ljubljana, Bâle, Paris, Joensuu… Il a fait ses débuts en 2008 au New Grand National Theater de Pékin devant les caméras de la télévision chinoise, qui a retransmis ensuite le concert dans le monde entier.
Il collabore avec des chefs renommés tels qu’Andrey Boreyko, Aleksander Vedernikov, Christoph Poppen, Shao-Chia Lü, Ari Rasilainen, En Shao, Juanjo Mena, Howard Griffiths et Michael Sanderling.
Joseph Moog est l’hôte de nombreux festivals internationau: Schleswig-Holstein, Rheingau, Obersdorf, Mecklenburg Vorpommern, Schwetzingen, Sommets Musicaux de Gstaad…
Joseph Moog s’est vu décerner un grand nombre de prix, parmi lesquels le Förderpreis 2008 für Junge Künstler du Land de Rhénanie-Palatinat, le Rhein-Mosel Musikpreis 2008, le Prix d’encouragement du Schleswig-Holstein Festival 2006 et le Prix Marguerite Dütschler 2006 des Sommets Musicaux de Gstaad. Il est également lauréat de la Fondation Orpheum de Zurich et du Prix 2006 de l’Association des agents de concert allemands. Il est depuis peu boursier de la Société Mozart de Dortmund et a été nommé Young Steinway Artist.
Les anniversaires, c'est génial ! Le bicentenaire de la naissance de Franz Liszt - artiste exceptionnel, adulé, star du XIXe siècle romantique - a donné à Joseph Moog l'occasion de présenter un florilège de transcriptions et de paraphrases rares.
Tout au long de ce généreux programme, le jeune virtuose nous entraîne sur des chemins jusqu'alors quasi inexplorés, avec des évocations de Bach, Beethoven, Schubert et Rossini, et des décors tels qu'une cathédrale, un opéra, un bal, ou l'intimité délicate d'un salon romantique, illustrant l'extraordinaire polyvalence de Franz Liszt en toute situation.
En complément de ces transcriptions et paraphrases, Joseph Moog a choisi la deuxième Ballade, rare témoignage du Liszt introverti, contrastant avec la pétillante Valse-Impromptu qui clôt ce récital exceptionnel.
Liszt, œuvres pour piano
Dans le catalogue des œuvres de Franz Liszt, plus de la moitié des numéros renvoient à des transcriptions, des paraphrases ou des arrangements. De Bach à Beethoven, de Schubert à Schumann, de Bellini à Wagner ou Verdi, sans oublier certaines de ses propres compositions, et dans les genres les plus divers (pièces pour orgue, pour orchestre symphonique, opéras, lieder), Liszt a tout abordé, tout absorbé, tout recréé. Pour piano à deux mains, mais aussi pour piano à quatre mains, deux pianos, orchestre de chambre, orgue, voix et orchestre. Nul compositeur ne s’est livré à cette activité avec un tel zèle, une telle abondance.
On évoque souvent, pour expliquer ce phénomène, la générosité de Liszt, et son amour éclairé des œuvres d’autrui : quel plus bel exercice d’admiration que la transcription ? Oui, mais il faut ajouter que le génial transcripteur, presque toujours, s’approprie l’œuvre originelle. De tout ce qu’il touche, il fait du Liszt. Et pourtant, il respecte l’œuvre transcrite. Ainsi, les symphonies de Beethoven, réduites pour piano à deux mains, deviennent une œuvre de haute virtuosité pianistique, mais ne trahissent jamais l’esprit beethovénien. De même, les transcriptions des lieder de Schubert, forcément très « chargées » puisqu’elles doivent intégrer la voix au discours du piano, sont en même temps de pieux hommages au dépouillement schubertien. L’écrivain André Suarès a condensé dans une magnifique formule le paradoxe des transcriptions lisztiennes, à la fois altruistes et personnelles, scrupuleuses et libres : « On dirait qu’il donne son nom à ce qu’il admire ».
Dès lors, la distance, entre les compositions « originales » de Liszt et ses transcriptions n’est pas aussi grande qu’on pourrait le croire. L’art du créateur s’est nourri de l’art du transcripteur. On a pu montrer que sa Sonate pour piano, la plus importante des œuvres qu’il ait consacrées à cet instrument, est fondée sur le principe de la variation-répétition, principe qui est précisément au cœur de son travail de transcripteur.
C’est donc de façon très judicieuse que le présent disque fait alterner des transcriptions et des œuvres « originales » : dans chacune de ces compositions, Liszt est présent tout entier. [..]
Joseph Moog
Du haut de ses 21 ans, Joseph Moog appartient déjà à l’élite internationale des pianistes. Sa grande virtuosité, sa personnalité musicale aux facettes multiples et ses compositions qui ponctuent souvent ses récitals, sont autant d’atouts qui retiennent l’attention.
Joseph Moog s’est produit en soliste avec de nombreux orchestres, parmi lesquels la Deutsche Radio Philharmonie Saarbrücken-Kaiserslautern, la Philharmonie slovaque, la Deutsche Streicherphilharmonie, l’Orchestre symphonique Tchaïkovski de Radio Moscou, la Deutsche Staatsphilharmonie Rheinland-Pfalz et l’Orchestre de la Radio munichoise. On peut l’entendre sur les grandes scènes internationales – Konzerthaus de Vienne, Festspielhaus de Salzbourg, Rudolfinum de Prague, Rio de Janeiro, Tel Aviv, Ljubljana, Bâle, Paris, Joensuu… Il a fait ses débuts en 2008 au New Grand National Theater de Pékin devant les caméras de la télévision chinoise, qui a retransmis ensuite le concert dans le monde entier.
Il collabore avec des chefs renommés tels qu’Andrey Boreyko, Aleksander Vedernikov, Christoph Poppen, Shao-Chia Lü, Ari Rasilainen, En Shao, Juanjo Mena, Howard Griffiths et Michael Sanderling.
Joseph Moog est l’hôte de nombreux festivals internationau: Schleswig-Holstein, Rheingau, Obersdorf, Mecklenburg Vorpommern, Schwetzingen, Sommets Musicaux de Gstaad…
Joseph Moog s’est vu décerner un grand nombre de prix, parmi lesquels le Förderpreis 2008 für Junge Künstler du Land de Rhénanie-Palatinat, le Rhein-Mosel Musikpreis 2008, le Prix d’encouragement du Schleswig-Holstein Festival 2006 et le Prix Marguerite Dütschler 2006 des Sommets Musicaux de Gstaad. Il est également lauréat de la Fondation Orpheum de Zurich et du Prix 2006 de l’Association des agents de concert allemands. Il est depuis peu boursier de la Société Mozart de Dortmund et a été nommé Young Steinway Artist.
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