(2001) Ravel: Piano Concertos & Alborada del Gracioso
Catégorie(s): Orchestral Piano
Instrument(s): Piano
Orchestre: Euskadiko Orkestra Sinfonikoa
Nb CD(s): 1
N° de catalogue:
CD 2101
Sortie: 2001
EAN/UPC: 7619931210124
- UPC: 829410507264
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RAVEL: PIANO CONCERTOS & ALBORADA DEL GRACIOSO
Ravel a vu le jour en 1875 à Ciboure. Son père était d’ascendance suisse, ce qui explique pourquoi Stravinsky appelait le compositeur «l’horloger suisse», à chaque fois qu’il parlait du style de composition très complexe et de l’attention que portait Ravel au plus infime détail. Sa mère était basque. Elle était née, sur le littoral franco-basque à St-Jean-de-Luz, ville dans laquelle Ravel a souvent passé ses vacances d’été. Il a fait de nombreuses excursions dans tout le Pays Basque dont il a appris la langue qu’il a continué à pratiquer toute sa vie.
Le Concerto en sol majeur est probablement l’œuvre à laquelle Ravel a travaillé le plus longtemps. En 1911, l’écriture de ce concerto, qui portait un titre basque, était déjà bien avancée, puis il a laissé tomber ce projet, pour en reprendre l’idée à la suite d’une tournée en Amérique du sud. Il l’a terminé en 1931 et le concerto a été créé le 14 mai 1932 à la Salle Pleyel à Paris devant un public enthousiaste. Selon les dires de Ravel, ce sont Mozart et Saint-Saëns qui lui avaient servi de modèles. Ce concerto en trois mouvements démontre une grande virtuosité académique, il conjugue trois éléments: le cirque, la musique espagnole et bien sûr le jazz.
Le Concerto pour la main gauche, était une commande du pianiste autrichien Paul Wittgenstein, qui avait perdu son bras droit à la guerre. Wittgenstein a créé ce concerto écrit dans un style rhapsodique – œuvre complexe et grandiose s’il en est - le 27 novembre 1931 à Vienne.
Alborada del Gracioso commence avec les pincements de la guitare, les rythmes syncopés et les hémioles d’une Espagne chamarrée.
(2001) Ravel: Piano Concertos & Alborada del Gracioso - CD 2101
Toute une série de facteurs se sont ligués pour faire de cet enregistrement une expérience inoubliable pour tous ceux qui y ont participé. Ce projet est né en mai 2000 lors d’une tournée à travers l’Amérique du sud. L’orchestre sous la direction de Gilbert Varga, avec le pianiste Joaquín Achucarro, avait joué des œuvres de Ravel qui avaient remporté un vif succès auprès des publics chilien et argentin. Et c’est ainsi qu’est venue l’idée de graver sur disque les trois œuvres de ce compositeur universel dont les racines basques sont incontestables.
Ravel a vu le jour en 1875 à Ciboure. Son père était d’ascendance suisse, ce qui explique pourquoi Stravinsky appelait le compositeur «l’horloger suisse», à chaque fois qu’il parlait du style de composition très complexe et de l’attention que portait Ravel au plus infime détail. Sa mère était basque. Elle était née, sur le littoral franco-basque à St-Jean-de-Luz, ville dans laquelle Ravel a souvent passé ses vacances d’été. Il a fait de nombreuses excursions dans tout le Pays Basque dont il a appris la langue qu’il a continué à pratiquer toute sa vie.
Le Concerto en sol majeur est probablement l’œuvre à laquelle Ravel a travaillé le plus longtemps. En 1911, l’écriture de ce concerto, qui portait un titre basque, était déjà bien avancée, puis il a laissé tomber ce projet, pour en reprendre l’idée à la suite d’une tournée en Amérique du sud. Il l’a terminé en 1931 et le concerto a été créé le 14 mai 1932 à la Salle Pleyel à Paris devant un public enthousiaste. Selon les dires de Ravel, ce sont Mozart et Saint-Saëns qui lui avaient servi de modèles. Ce concerto en trois mouvements démontre une grande virtuosité académique, il conjugue trois éléments: le cirque, la musique espagnole et bien sûr le jazz.
Le Concerto pour la main gauche, était une commande du pianiste autrichien Paul Wittgenstein, qui avait perdu son bras droit à la guerre. Wittgenstein a créé ce concerto écrit dans un style rhapsodique – œuvre complexe et grandiose s’il en est - le 27 novembre 1931 à Vienne.
Alborada del Gracioso commence avec les pincements de la guitare, les rythmes syncopés et les hémioles d’une Espagne chamarrée.
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