(2022) J. S. Bach: Sonatas & Partitas for solo violin
Catégorie(s): Répertoire
Instrument(s): Violon
Compositeur principal: Johann Sebastian Bach
Nb CD(s): 2
N° de catalogue:
CD 3035/36
Sortie: 30.09.2022
EAN/UPC: 7619931303529
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J. S. BACH: SONATAS & PARTITAS FOR SOLO VIOLIN
Six sonates et partitas pour violon - BWV 1001 - 1006
Le manuscrit des Sonates et Partitas pour violon, qui a heureusement survécu, est daté de 1720. La première page de l'autographe porte la mention "Libro Primo" ; les Suites pour violoncelle BWV 1007-1012 de Bach ont pu être considérées comme le "Libro Secondo". Le dédicataire n'est pas connu. Johann Sebastian Bach a composé ses Sonates et Partitas pour violon alors qu'il était employé comme Kapellmeister à Köthen (1717-1723) et a probablement terminé le cycle en 1720.
Il n'y a guère d'autre œuvre dans toute la littérature pour violon qui ait une telle importance. Bach a établi de nouvelles normes en matière de jeu et de composition ; ces œuvres n'ont rien perdu de leur actualité et de leur éclat jusqu'à aujourd'hui.
Avant lui, peu de compositeurs avaient écrit des œuvres pour violon non accompagné, et encore moins des cycles entiers. Cependant, on suppose que Bach connaissait, par exemple, le recueil de Suites pour violon seul de Johann Paul von Westhoff (1696). Dans ses compositions, Westhoff avait déjà tenté de créer l'illusion de donner vie à une musique polyphonique par le biais d'un instrument mélodique sans accompagnement. Bach a porté cet art à un niveau de perfection insurpassable dans ses Sonates et Partitas.
Les six Sonates et Partitas pour violon étaient déjà étonnamment répandues au XVIIIe siècle ; de nombreuses copies ont été produites. Cependant, elles n'ont acquis une grande notoriété que lorsque le violoniste Joseph Joachim, un ami proche de Brahms, a commencé à les jouer plus fréquemment dans les salles de concert.
Aujourd'hui, il est impossible d'imaginer le répertoire pour violon sans ce cycle d'œuvres.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
En lire plus dans le livret
Esther Hoppe, violon
La violoniste suisse Esther Hoppe s'est fait un nom en tant que soliste, musicienne de chambre et enseignante au niveau international.
Après avoir étudié à Bâle, Philadelphie, Londres et Zurich, elle a remporté le 1er prix du Concours international Mozart de Salzbourg en 2002. En tant que membre du Trio Tecchler, elle a remporté de nombreux prix, notamment le Concours de musique allemand, le Prix Crédit Suisse et le 1er prix du Concours international ARD de Munich.
En plus de ses apparitions en tant que soliste (avec l'Orchestre symphonique de la Radio bavaroise, le Royal Liverpool Philharmonic, Les Siècles, l'Orchestre de chambre de Bâle et l'Orchestre de chambre de Munich, entre autres), elle poursuit une carrière active en tant que chambriste. Parmi ses partenaires figurent Ronald Brautigam, Christian Poltéra, Francesco Piemontesi, Clemens et Veronika Hagen, Lars Anders Tomter, Heinz Holliger, Elisabeth Leonskaja et Pascal Moraguès.
On peut l'entendre régulièrement dans des festivals de premier plan tels que le Kammermusikfest Lockenhaus, le Gstaad Menuhin Festival, le Lucerne Festival, le Edinburgh Festival, Musiktage Mondsee, Fjord Classics, Styriarte Graz, Delft Chamber Music Festival et Mozartwoche Salzburg.
Des enregistrements très appréciés d'œuvres de compositeurs tels que Mozart, Stravinsky, Poulenc et Saint-Saëns ont été publiés par Claves Records, Virgin Classics, Neos, Concentus Records et Ars Musici.
Esther Hoppe est professeur de violon à l'Université Mozarteum de Salzbourg.
Elle joue le violon Stradivarius "De Ahna" de 1722 et un violon de Gioffredo Cappa de 1690.
Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
Smart links (Album)
REVIEWS
« [..] Die international tätige Zuger Berufsviolinistin Esther Hoppe hat die sechs einzigartigen Bach-Werke auf CD eingespielt. Ende September ist diese am Markt erhältlich. Die Frage an die Zugerin, ob sie BWV 1001-1006 als eine Art Königsdisziplin der Geigenliteratur ansehen würde, bejaht sie. «Die Bach-Sonaten-und-Partiten werden von allen Geigerinnen und Geigern gleichermassen bewundert und gefürchtet, sie sind sozusagen unsere ständigen Begleiter», so Esther Hoppe. Die Kompositionen seien so gehaltvoll, dass man immer wieder Neues entdecke und Neues dazulerne. Viele würden die Werke täglich üben. Sie sind nicht zuletzt eine Art Massstab: «Denn sie zeigen gnadenlos auf, wenn an der musikalischen Interpretation oder an der Technik etwas fehlt», sagt die Musikerin. «Insofern kann man durchaus von sprechen.» Ideale Voraussetzungen für das ambitionierte Projekt Sie selbst war im frühen Teenageralter, als sie zum ersten Mal einen Satz aus diesem besonderen Zyklus eingeübt hat. [..] » - Andreas Faessler, September 2022
« [..] Elle incarne une forme de rigueur alliée à une profonde musicalité, avec des choix de tempo plutôt lents, quasi méditatifs. Elle prend soin de faire chanter et respirer son violon. Jusqu’à l’apothéose de la Chaconne, renversante. Puis elle a pu acquérir le Stradivarius nommé De Ahna, monté de manière moderne, qu’elle utilise dans le troisième numéro de cette ample partition, où l’instrument mélodique doit poser des accords et créer l’impression d’une polyphonie. La soliste suisse mesure toute la densité de ce chef-d’oeuvre insurpassé du violon solo. » - Elisabeth Hass, janvier 2023
« Die Einspielung der Solosonaten und -partiten von Bach ist ein Meilenstein im Leben jedes Geigers. Während der Pandemie fand die Schweizerin Esther Hoppe die Ruhe und Konzentration, ihre Version dieses Geigen-Kosmos für die CD festzuhalten. Das Besondere dabei: Hoppe spielt die Werke in Moll auf ihrer eigenen, dunkel klingenden Cappa-Violine, die beiden in Dur hingegen auf einer geliehenen Stradivari, was der sehr verinnerlichten, deutlich historischen Spielweisen verpflichteten Interpretation einen schön strahlenden Abschluss gibt.» - Reinmar Wagner, Februar 2023
« Sie sind die Krone der Violinmusik: Bachs Sonaten und Partiten, kein Geigerinnenleben ist komplett ohne sie. Diese Bedeutung ist auch in der Aufnahme der Schweizerin Esther Hoppe hörbar. Aber nicht nur. Die Geigerin verzichtet auf Schmelz zugunsten von Struktur, spielt elegant statt expressiv. Das Fundament ihres musikalischen Gebildes bilden die Basstöne, über denen sie leichtfüssige Gebilde zeichnet. Und in den weitgespannten Bögen, dem Formbewusstsein und den französisch zugespitzten Sechzehnteln scheinen die ursprünglichen Tänze auf, die den Sätzen zugrunde liegen. Einfach schön.» - Anna Kardos, Januar 2023
“[..] What these interpretations make clear in the first place is that Hoppe seems, as it were, to have grown attached to these six works: not only does she find it easy to play technically, but there is also a clear hint of a character of her own, prompted also by the interpretative space that the composer himself offers the interpreter in his music (which does not only apply to ornamentation). What may also have played a role in this is that in her role as a teacher she used the sonatas and partitas as teaching materials. From the flashy Presto from BWV 1002 and the richly colored voicing in the perfectly dosed Fugue from BWV 1003 to the deeply felt, glowing contemplation of the Ciaccona from BWV 1004: this is playing that continues to captivate from beginning to end. [..]” - Aart van der Wal, October 2022
« [..] La Zougoise Esther Hoppe, pour le label Claves, a le courage de prendre des risques, de défendre des propos qui pourraient même paraître contradictoires: jouer des oeuvres de 1720 sur des instrument de 1690 et 1722 et soutenir qu’«une approche historiquement informée ne doit pas nuire à la grandeur atemporelle de cette musique». En l’écoutant, on a l’impression de comprendre. Esther Hoppe semble aller puiser dans son for intérieur, mettre en scène ces oeuvres dans les parois de son théâtre intime, à la recherche de ce qui vibre au plus profond d’elle-même. Elle joue ainsi précisément le jeu de Bach, son exercice spirituel et méditatif, sans contrainte. On est frappé·e par cette voix intime qui s’élève, articule sa propre poésie dans le flot délicat d’une élocution mélancolique, d’idées mélodiques qui sortent timidement de l’ombre de la pensée vers la lumière du soleil, ou dans le tourbillon si superbement égrené des mouvements plus rapides. [..] » - Gianluigi Bocelli, septembre 2022
REVIEWS
« [..] Die international tätige Zuger Berufsviolinistin Esther Hoppe hat die sechs einzigartigen Bach-Werke auf CD eingespielt. Ende September ist diese am Markt erhältlich. Die Frage an die Zugerin, ob sie BWV 1001-1006 als eine Art Königsdisziplin der Geigenliteratur ansehen würde, bejaht sie. «Die Bach-Sonaten-und-Partiten werden von allen Geigerinnen und Geigern gleichermassen bewundert und gefürchtet, sie sind sozusagen unsere ständigen Begleiter», so Esther Hoppe. Die Kompositionen seien so gehaltvoll, dass man immer wieder Neues entdecke und Neues dazulerne. Viele würden die Werke täglich üben. Sie sind nicht zuletzt eine Art Massstab: «Denn sie zeigen gnadenlos auf, wenn an der musikalischen Interpretation oder an der Technik etwas fehlt», sagt die Musikerin. «Insofern kann man durchaus von sprechen.» Ideale Voraussetzungen für das ambitionierte Projekt Sie selbst war im frühen Teenageralter, als sie zum ersten Mal einen Satz aus diesem besonderen Zyklus eingeübt hat. [..] » - Andreas Faessler, September 2022
« [..] Elle incarne une forme de rigueur alliée à une profonde musicalité, avec des choix de tempo plutôt lents, quasi méditatifs. Elle prend soin de faire chanter et respirer son violon. Jusqu’à l’apothéose de la Chaconne, renversante. Puis elle a pu acquérir le Stradivarius nommé De Ahna, monté de manière moderne, qu’elle utilise dans le troisième numéro de cette ample partition, où l’instrument mélodique doit poser des accords et créer l’impression d’une polyphonie. La soliste suisse mesure toute la densité de ce chef-d’oeuvre insurpassé du violon solo. » - Elisabeth Hass, janvier 2023
« Die Einspielung der Solosonaten und -partiten von Bach ist ein Meilenstein im Leben jedes Geigers. Während der Pandemie fand die Schweizerin Esther Hoppe die Ruhe und Konzentration, ihre Version dieses Geigen-Kosmos für die CD festzuhalten. Das Besondere dabei: Hoppe spielt die Werke in Moll auf ihrer eigenen, dunkel klingenden Cappa-Violine, die beiden in Dur hingegen auf einer geliehenen Stradivari, was der sehr verinnerlichten, deutlich historischen Spielweisen verpflichteten Interpretation einen schön strahlenden Abschluss gibt.» - Reinmar Wagner, Februar 2023
« Sie sind die Krone der Violinmusik: Bachs Sonaten und Partiten, kein Geigerinnenleben ist komplett ohne sie. Diese Bedeutung ist auch in der Aufnahme der Schweizerin Esther Hoppe hörbar. Aber nicht nur. Die Geigerin verzichtet auf Schmelz zugunsten von Struktur, spielt elegant statt expressiv. Das Fundament ihres musikalischen Gebildes bilden die Basstöne, über denen sie leichtfüssige Gebilde zeichnet. Und in den weitgespannten Bögen, dem Formbewusstsein und den französisch zugespitzten Sechzehnteln scheinen die ursprünglichen Tänze auf, die den Sätzen zugrunde liegen. Einfach schön.» - Anna Kardos, Januar 2023
“[..] What these interpretations make clear in the first place is that Hoppe seems, as it were, to have grown attached to these six works: not only does she find it easy to play technically, but there is also a clear hint of a character of her own, prompted also by the interpretative space that the composer himself offers the interpreter in his music (which does not only apply to ornamentation). What may also have played a role in this is that in her role as a teacher she used the sonatas and partitas as teaching materials. From the flashy Presto from BWV 1002 and the richly colored voicing in the perfectly dosed Fugue from BWV 1003 to the deeply felt, glowing contemplation of the Ciaccona from BWV 1004: this is playing that continues to captivate from beginning to end. [..]” - Aart van der Wal, October 2022
« [..] La Zougoise Esther Hoppe, pour le label Claves, a le courage de prendre des risques, de défendre des propos qui pourraient même paraître contradictoires: jouer des oeuvres de 1720 sur des instrument de 1690 et 1722 et soutenir qu’«une approche historiquement informée ne doit pas nuire à la grandeur atemporelle de cette musique». En l’écoutant, on a l’impression de comprendre. Esther Hoppe semble aller puiser dans son for intérieur, mettre en scène ces oeuvres dans les parois de son théâtre intime, à la recherche de ce qui vibre au plus profond d’elle-même. Elle joue ainsi précisément le jeu de Bach, son exercice spirituel et méditatif, sans contrainte. On est frappé·e par cette voix intime qui s’élève, articule sa propre poésie dans le flot délicat d’une élocution mélancolique, d’idées mélodiques qui sortent timidement de l’ombre de la pensée vers la lumière du soleil, ou dans le tourbillon si superbement égrené des mouvements plus rapides. [..] » - Gianluigi Bocelli, septembre 2022
« Sie hat es gewagt. Viele Jahre lang habe sie sich mit den Sonaten und Partiten für Violine solo von Johann Sebastian Bach beschäftigt, jetzt sei die Zeit gekommen, sagt Esther Hoppe. So hat die Schweizer Geigerin, die seit zehn Jahren eine Professur am Mozarteum Salzburg versieht und auf Beginn der Saison 2024/25 die Leitung der Camerata Zürich übernimmt, ihre Instrumente geschultert und ist ins Aufnahmestudio gegangen. [..] In gelöster Einlässlichkeit horcht Esther Hoppe in die Musik Bachs hinein; sie lässt sie gleichsam aus sich selbst heraus entstehen und schafft ihr damit den Raum, in dem sie sich dem Zuhörer, der Zuhörerin in ihrer ganzen Schönheit, auch dem ganzen Raffinement ihrer Erfindung zeigt. [..] » - Peter Hagmann, April 2023
(2022) J. S. Bach: Sonatas & Partitas for solo violin - CD 3035/36
Six sonates et partitas pour violon - BWV 1001 - 1006
Le manuscrit des Sonates et Partitas pour violon, qui a heureusement survécu, est daté de 1720. La première page de l'autographe porte la mention "Libro Primo" ; les Suites pour violoncelle BWV 1007-1012 de Bach ont pu être considérées comme le "Libro Secondo". Le dédicataire n'est pas connu. Johann Sebastian Bach a composé ses Sonates et Partitas pour violon alors qu'il était employé comme Kapellmeister à Köthen (1717-1723) et a probablement terminé le cycle en 1720.
Il n'y a guère d'autre œuvre dans toute la littérature pour violon qui ait une telle importance. Bach a établi de nouvelles normes en matière de jeu et de composition ; ces œuvres n'ont rien perdu de leur actualité et de leur éclat jusqu'à aujourd'hui.
Avant lui, peu de compositeurs avaient écrit des œuvres pour violon non accompagné, et encore moins des cycles entiers. Cependant, on suppose que Bach connaissait, par exemple, le recueil de Suites pour violon seul de Johann Paul von Westhoff (1696). Dans ses compositions, Westhoff avait déjà tenté de créer l'illusion de donner vie à une musique polyphonique par le biais d'un instrument mélodique sans accompagnement. Bach a porté cet art à un niveau de perfection insurpassable dans ses Sonates et Partitas.
Les six Sonates et Partitas pour violon étaient déjà étonnamment répandues au XVIIIe siècle ; de nombreuses copies ont été produites. Cependant, elles n'ont acquis une grande notoriété que lorsque le violoniste Joseph Joachim, un ami proche de Brahms, a commencé à les jouer plus fréquemment dans les salles de concert.
Aujourd'hui, il est impossible d'imaginer le répertoire pour violon sans ce cycle d'œuvres.
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Esther Hoppe, violon
La violoniste suisse Esther Hoppe s'est fait un nom en tant que soliste, musicienne de chambre et enseignante au niveau international.
Après avoir étudié à Bâle, Philadelphie, Londres et Zurich, elle a remporté le 1er prix du Concours international Mozart de Salzbourg en 2002. En tant que membre du Trio Tecchler, elle a remporté de nombreux prix, notamment le Concours de musique allemand, le Prix Crédit Suisse et le 1er prix du Concours international ARD de Munich.
En plus de ses apparitions en tant que soliste (avec l'Orchestre symphonique de la Radio bavaroise, le Royal Liverpool Philharmonic, Les Siècles, l'Orchestre de chambre de Bâle et l'Orchestre de chambre de Munich, entre autres), elle poursuit une carrière active en tant que chambriste. Parmi ses partenaires figurent Ronald Brautigam, Christian Poltéra, Francesco Piemontesi, Clemens et Veronika Hagen, Lars Anders Tomter, Heinz Holliger, Elisabeth Leonskaja et Pascal Moraguès.
On peut l'entendre régulièrement dans des festivals de premier plan tels que le Kammermusikfest Lockenhaus, le Gstaad Menuhin Festival, le Lucerne Festival, le Edinburgh Festival, Musiktage Mondsee, Fjord Classics, Styriarte Graz, Delft Chamber Music Festival et Mozartwoche Salzburg.
Des enregistrements très appréciés d'œuvres de compositeurs tels que Mozart, Stravinsky, Poulenc et Saint-Saëns ont été publiés par Claves Records, Virgin Classics, Neos, Concentus Records et Ars Musici.
Esther Hoppe est professeur de violon à l'Université Mozarteum de Salzbourg.
Elle joue le violon Stradivarius "De Ahna" de 1722 et un violon de Gioffredo Cappa de 1690.
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« [..] Die international tätige Zuger Berufsviolinistin Esther Hoppe hat die sechs einzigartigen Bach-Werke auf CD eingespielt. Ende September ist diese am Markt erhältlich. Die Frage an die Zugerin, ob sie BWV 1001-1006 als eine Art Königsdisziplin der Geigenliteratur ansehen würde, bejaht sie. «Die Bach-Sonaten-und-Partiten werden von allen Geigerinnen und Geigern gleichermassen bewundert und gefürchtet, sie sind sozusagen unsere ständigen Begleiter», so Esther Hoppe. Die Kompositionen seien so gehaltvoll, dass man immer wieder Neues entdecke und Neues dazulerne. Viele würden die Werke täglich üben. Sie sind nicht zuletzt eine Art Massstab: «Denn sie zeigen gnadenlos auf, wenn an der musikalischen Interpretation oder an der Technik etwas fehlt», sagt die Musikerin. «Insofern kann man durchaus von sprechen.» Ideale Voraussetzungen für das ambitionierte Projekt Sie selbst war im frühen Teenageralter, als sie zum ersten Mal einen Satz aus diesem besonderen Zyklus eingeübt hat. [..] » - Andreas Faessler, September 2022
« [..] Elle incarne une forme de rigueur alliée à une profonde musicalité, avec des choix de tempo plutôt lents, quasi méditatifs. Elle prend soin de faire chanter et respirer son violon. Jusqu’à l’apothéose de la Chaconne, renversante. Puis elle a pu acquérir le Stradivarius nommé De Ahna, monté de manière moderne, qu’elle utilise dans le troisième numéro de cette ample partition, où l’instrument mélodique doit poser des accords et créer l’impression d’une polyphonie. La soliste suisse mesure toute la densité de ce chef-d’oeuvre insurpassé du violon solo. » - Elisabeth Hass, janvier 2023
« Die Einspielung der Solosonaten und -partiten von Bach ist ein Meilenstein im Leben jedes Geigers. Während der Pandemie fand die Schweizerin Esther Hoppe die Ruhe und Konzentration, ihre Version dieses Geigen-Kosmos für die CD festzuhalten. Das Besondere dabei: Hoppe spielt die Werke in Moll auf ihrer eigenen, dunkel klingenden Cappa-Violine, die beiden in Dur hingegen auf einer geliehenen Stradivari, was der sehr verinnerlichten, deutlich historischen Spielweisen verpflichteten Interpretation einen schön strahlenden Abschluss gibt.» - Reinmar Wagner, Februar 2023
« Sie sind die Krone der Violinmusik: Bachs Sonaten und Partiten, kein Geigerinnenleben ist komplett ohne sie. Diese Bedeutung ist auch in der Aufnahme der Schweizerin Esther Hoppe hörbar. Aber nicht nur. Die Geigerin verzichtet auf Schmelz zugunsten von Struktur, spielt elegant statt expressiv. Das Fundament ihres musikalischen Gebildes bilden die Basstöne, über denen sie leichtfüssige Gebilde zeichnet. Und in den weitgespannten Bögen, dem Formbewusstsein und den französisch zugespitzten Sechzehnteln scheinen die ursprünglichen Tänze auf, die den Sätzen zugrunde liegen. Einfach schön.» - Anna Kardos, Januar 2023
“[..] What these interpretations make clear in the first place is that Hoppe seems, as it were, to have grown attached to these six works: not only does she find it easy to play technically, but there is also a clear hint of a character of her own, prompted also by the interpretative space that the composer himself offers the interpreter in his music (which does not only apply to ornamentation). What may also have played a role in this is that in her role as a teacher she used the sonatas and partitas as teaching materials. From the flashy Presto from BWV 1002 and the richly colored voicing in the perfectly dosed Fugue from BWV 1003 to the deeply felt, glowing contemplation of the Ciaccona from BWV 1004: this is playing that continues to captivate from beginning to end. [..]” - Aart van der Wal, October 2022
« [..] La Zougoise Esther Hoppe, pour le label Claves, a le courage de prendre des risques, de défendre des propos qui pourraient même paraître contradictoires: jouer des oeuvres de 1720 sur des instrument de 1690 et 1722 et soutenir qu’«une approche historiquement informée ne doit pas nuire à la grandeur atemporelle de cette musique». En l’écoutant, on a l’impression de comprendre. Esther Hoppe semble aller puiser dans son for intérieur, mettre en scène ces oeuvres dans les parois de son théâtre intime, à la recherche de ce qui vibre au plus profond d’elle-même. Elle joue ainsi précisément le jeu de Bach, son exercice spirituel et méditatif, sans contrainte. On est frappé·e par cette voix intime qui s’élève, articule sa propre poésie dans le flot délicat d’une élocution mélancolique, d’idées mélodiques qui sortent timidement de l’ombre de la pensée vers la lumière du soleil, ou dans le tourbillon si superbement égrené des mouvements plus rapides. [..] » - Gianluigi Bocelli, septembre 2022
REVIEWS
« [..] Die international tätige Zuger Berufsviolinistin Esther Hoppe hat die sechs einzigartigen Bach-Werke auf CD eingespielt. Ende September ist diese am Markt erhältlich. Die Frage an die Zugerin, ob sie BWV 1001-1006 als eine Art Königsdisziplin der Geigenliteratur ansehen würde, bejaht sie. «Die Bach-Sonaten-und-Partiten werden von allen Geigerinnen und Geigern gleichermassen bewundert und gefürchtet, sie sind sozusagen unsere ständigen Begleiter», so Esther Hoppe. Die Kompositionen seien so gehaltvoll, dass man immer wieder Neues entdecke und Neues dazulerne. Viele würden die Werke täglich üben. Sie sind nicht zuletzt eine Art Massstab: «Denn sie zeigen gnadenlos auf, wenn an der musikalischen Interpretation oder an der Technik etwas fehlt», sagt die Musikerin. «Insofern kann man durchaus von sprechen.» Ideale Voraussetzungen für das ambitionierte Projekt Sie selbst war im frühen Teenageralter, als sie zum ersten Mal einen Satz aus diesem besonderen Zyklus eingeübt hat. [..] » - Andreas Faessler, September 2022
« [..] Elle incarne une forme de rigueur alliée à une profonde musicalité, avec des choix de tempo plutôt lents, quasi méditatifs. Elle prend soin de faire chanter et respirer son violon. Jusqu’à l’apothéose de la Chaconne, renversante. Puis elle a pu acquérir le Stradivarius nommé De Ahna, monté de manière moderne, qu’elle utilise dans le troisième numéro de cette ample partition, où l’instrument mélodique doit poser des accords et créer l’impression d’une polyphonie. La soliste suisse mesure toute la densité de ce chef-d’oeuvre insurpassé du violon solo. » - Elisabeth Hass, janvier 2023
« Die Einspielung der Solosonaten und -partiten von Bach ist ein Meilenstein im Leben jedes Geigers. Während der Pandemie fand die Schweizerin Esther Hoppe die Ruhe und Konzentration, ihre Version dieses Geigen-Kosmos für die CD festzuhalten. Das Besondere dabei: Hoppe spielt die Werke in Moll auf ihrer eigenen, dunkel klingenden Cappa-Violine, die beiden in Dur hingegen auf einer geliehenen Stradivari, was der sehr verinnerlichten, deutlich historischen Spielweisen verpflichteten Interpretation einen schön strahlenden Abschluss gibt.» - Reinmar Wagner, Februar 2023
« Sie sind die Krone der Violinmusik: Bachs Sonaten und Partiten, kein Geigerinnenleben ist komplett ohne sie. Diese Bedeutung ist auch in der Aufnahme der Schweizerin Esther Hoppe hörbar. Aber nicht nur. Die Geigerin verzichtet auf Schmelz zugunsten von Struktur, spielt elegant statt expressiv. Das Fundament ihres musikalischen Gebildes bilden die Basstöne, über denen sie leichtfüssige Gebilde zeichnet. Und in den weitgespannten Bögen, dem Formbewusstsein und den französisch zugespitzten Sechzehnteln scheinen die ursprünglichen Tänze auf, die den Sätzen zugrunde liegen. Einfach schön.» - Anna Kardos, Januar 2023
“[..] What these interpretations make clear in the first place is that Hoppe seems, as it were, to have grown attached to these six works: not only does she find it easy to play technically, but there is also a clear hint of a character of her own, prompted also by the interpretative space that the composer himself offers the interpreter in his music (which does not only apply to ornamentation). What may also have played a role in this is that in her role as a teacher she used the sonatas and partitas as teaching materials. From the flashy Presto from BWV 1002 and the richly colored voicing in the perfectly dosed Fugue from BWV 1003 to the deeply felt, glowing contemplation of the Ciaccona from BWV 1004: this is playing that continues to captivate from beginning to end. [..]” - Aart van der Wal, October 2022
« [..] La Zougoise Esther Hoppe, pour le label Claves, a le courage de prendre des risques, de défendre des propos qui pourraient même paraître contradictoires: jouer des oeuvres de 1720 sur des instrument de 1690 et 1722 et soutenir qu’«une approche historiquement informée ne doit pas nuire à la grandeur atemporelle de cette musique». En l’écoutant, on a l’impression de comprendre. Esther Hoppe semble aller puiser dans son for intérieur, mettre en scène ces oeuvres dans les parois de son théâtre intime, à la recherche de ce qui vibre au plus profond d’elle-même. Elle joue ainsi précisément le jeu de Bach, son exercice spirituel et méditatif, sans contrainte. On est frappé·e par cette voix intime qui s’élève, articule sa propre poésie dans le flot délicat d’une élocution mélancolique, d’idées mélodiques qui sortent timidement de l’ombre de la pensée vers la lumière du soleil, ou dans le tourbillon si superbement égrené des mouvements plus rapides. [..] » - Gianluigi Bocelli, septembre 2022
« Sie hat es gewagt. Viele Jahre lang habe sie sich mit den Sonaten und Partiten für Violine solo von Johann Sebastian Bach beschäftigt, jetzt sei die Zeit gekommen, sagt Esther Hoppe. So hat die Schweizer Geigerin, die seit zehn Jahren eine Professur am Mozarteum Salzburg versieht und auf Beginn der Saison 2024/25 die Leitung der Camerata Zürich übernimmt, ihre Instrumente geschultert und ist ins Aufnahmestudio gegangen. [..] In gelöster Einlässlichkeit horcht Esther Hoppe in die Musik Bachs hinein; sie lässt sie gleichsam aus sich selbst heraus entstehen und schafft ihr damit den Raum, in dem sie sich dem Zuhörer, der Zuhörerin in ihrer ganzen Schönheit, auch dem ganzen Raffinement ihrer Erfindung zeigt. [..] » - Peter Hagmann, April 2023
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